jeudi 31 janvier 2008

Conjugaison

Conjuguer les verbes suivant au présent de l'indicatif :

1 Blanchir
je blanchis
tu blanchis
il blanchit
nous blanchissons
vous blanchissez
ils blanchissent

2 Partir
je pars
tu pars
il part
nous partons
vous partez
ils partent


3 Aller

je vais
tu vas
il va
nous allons
vous allez
ils vont

4 Marcher
je marche
tu marches
il marche
nous marchons
vous marchez
ils marchent

5 Regarder
je regarde
tu regardes
il regarde
nous regardons
vous regardez
ils regardent

6 Voir
je vois
tu vois
il voit
nous voyons
vous voyez
ils voient

7 Demeurer
je demeure
tu demeures
il demeure
nous demeurons
vous demeurez
ils demeurent

8 Descendre
je descends
tu descends
il descend
nous descendons
vous descendez
ils descendent

9 Tomber
je tombe
tu tombes
il tombe
nous tombons
vous tombez
ils tombent

10 Etre
je suis
tu es
il est
nous sommes
vous êtes
ils sont

11 Avoir
j' ai
tu as
il a
nous avons
vous avez
ils ont

12 Finir
je finis
tu finis
il finit
nous finissons
vous finissez
ils finissent

13 Aller
je vais
tu vas
il va
nous allons
vous allez
ils vont

14 Pouvoir
je peux ou puis
tu peux
il peut
nous pouvons
vous pouvez
ils peuvent

15 Attendre
j' attends
tu attends
il attend
nous attendons
vous attendez
ils attendent



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vendredi 25 janvier 2008

L'hiver de Djibril Bamba

C’EST L’HIVER QU ‘IL FAIT FROID

LES MANTEAUX SONT SORTIS DES ARMOIRES

PETITS COMME GRANDS SONT COUVERTS, IL FAIT FROID

TANDIS QUE LA NEIGE TOMBE LES ENFANTS JOUENT ET FONT DES BONHOMMES DE NEIGE

IL FAIT FROID J’ATTENDS LE BUS

PARCE QUE JE SUIS OBLIGE D’ALLER A L’ECOLE ET JE GRELOTE

LE SOIR VENU JE PRENDS UNE BONNE SOUPE POUR ME RECHAUFER

JE ME METS EN PIJAMA ET JE M’ENDORS AU PETIT MATIN

JE NE VEUX PAS SORTIR DU LIT QUAND IL FAIT FROID

Demain, dès l'aube... Victor Hugo

Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne,
Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends.
J'irai par la forêt, j'irai par la montagne.
Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.

Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées,
Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit,
Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées,
Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.

Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe,
Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur,
Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe
Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur.

Pour écouter le poème














Un jour différent de Damian Sepulveda

Le jour d’aujourd’hui n’est pas comme les autres jours.

Il n’était plus comme avant, le froid, la pluie et le vent décoraient un ciel tout gris, et ma mère ma dit pleine de tristesse : « Mon fils tu dois y aller ! »

A l’école je suis parti et mes camarades amenaient des parapluies en essayant d’éviter l’eau, mais moi avec mon manteau, je me suis également protégé.

L’hiver n’évitera pas que j’apprenne à être un bon garçon.

Sans penser et sans répéter, c’est le meilleur que je puisse dire en ces quelques lignes.

Le ciel ! de Jeanette Sepulveda

Le ciel est si bleu et si calme

Ceci sont donc les couleurs de l’ hiver

Mais où est donc passé ta belle âme…

S’ est elle mise à l’ envers ?…

Etes-vous déjà arrive madame neige ?

Ah ! en fin vous voilà , le ciel est si vierge !

Oui, vous enfin, messieurs les nuages !

Vous arrivez enfin la fin de votre voyage !…


L’amour d' Amrit Shapkota

Un jour je suis parti à mon pays, le Népal.

Il y a une fille

Que je connais ,

Elle m’appelle et nous parlons longtemps

Je lui demande :

« Tu vas où ? »

Elle me dit :

« Je vais chez ma mamie »

Apres elle est partie chez sa mamie

Elle me donne rendez –vous

Pour rencontrer une histoire

D’amour

lundi 21 janvier 2008

Saltimbanques

à Louis Dumur


Dans la plaine les baladins
S'éloignent au long des jardins
Devant l'huis des auberges grises
Par les villages sans églises
Et les enfants s'en vont devant
Les autres suivent en rêvant
Chaque arbre fruitier se résigne
Quand de très loin ils lui font signe
Ils ont des poids ronds ou carrés
Des tambours des cerceaux dorés
L'ours et le singe animaux sages
Quêtent des sous sur leur passage.

Guillaume Apollinaire (1880 - 1918)

Questions

1- Qui est l’auteur du poème ?

2- Quel est son titre ?

3- Quel est son thème ?

4- De combien de vers est composé le poème ?

5- De combien de strophes est-il composé ?

6- Combien de vers contient chaque strophe ?

7- Avec quel mot rime le mot « grises » (v. 3 )

8- Avec quel mot rime le mot « passage » (v. 12 )

9- Trouvez dix mots en relation avec l’hiver.

10-Parmi ces dix mots trouvez une rime pour deux d’entre eux.

Expression écrite

Faites un court poème de quatre vers avec l’hiver pour thème.



jeudi 17 janvier 2008

Le ciel est, par-dessus le toit...

Le ciel est, par-dessus le toit,
Si bleu, si calme !
Un arbre, par-dessus le toit,
Berce sa palme.

La cloche, dans le ciel qu'on voit,
Doucement tinte.
Un oiseau sur l'arbre qu'on voit
Chante sa plainte.

Mon Dieu, mon Dieu, la vie est là,
Simple et tranquille.
Cette paisible rumeur-là
Vient de la ville.

--Qu'as-tu fait, ô toi que voilà
Pleurant sans cesse,
Dis, qu'as-tu fait, toi que voilà,
De ta jeunesse ?

Paul Verlaine


Pour écouter le poème cliquer ici